събота, 24 януари 2009 г.

Les marées noires: causes, conséquences et solutions

DISSERTATION

Les marées noires: causes, conséquences et solutions.



Nom: Angelov Mitko
Numéro: 99424

A la veille du XXI-ème siècle, l'Europe et le monde traversent une période de profonds bouleversements, de changements presque incroyables. On voit aujourd’hui une énorme révolution scientifique et technologique. Notre siècle s’appelle le siècle des hautes (nouvelles) technologies. Pourtant ce développement accéléré pose de nombreuses questions et plusieurs problèmes. Ce sont des problèmes liés avec le changement climatique, les déchets, les émissions de gaz en effet de serre et les sources d'énergie classiques et renouvelables. L’un des plus polémiques concerne la pollution de l'environnement. Et plus concrètement, c'est le problème lié avec les marées noires qui occupe aujourd’hui une place centrale au sein des débats écologiques.

D’abord il est nécessaire de définir l'expression "les marées noires". Une marée noire est une catastrophe industrielle et écologique qui se traduit par le déversement d'une importante quantité de pétrole brut ou de produits pétroliers lourds à la mer, et de l'arrivée de cette nappe d'hydrocarbures en zone côtière sous l'effet des marées et des vents. L'origine d'une marée noire peut provenir d'un navire coulé, d'un accident sur une installation de forage en pleine mer (plate-forme pétrolière), d'un accident industriel en bord de mer ou d'un conflit armé. Dans la présente dissertation nous verrons plus précieusement et en détail seulement le premier cas d'une marée noire. Deux bons exemples nous permettrons de faire cela: ce sont le naufrage de l'Erika en 1999 et le naufrage du Prestige en 2002. Nous allons faire attention sur les cause, conséquences et solutions de ce grand problème de l'environnement.
Tout en reconnaissant l'expression "les marées noires", il faut cependant remarquer quelles sont ses raisons. Tout d’abord nous devons retrouver les raisons qui provoquent ce phénomène – cette catastrophe écologique. Nous devons rendre compte aux causes des marées noires.

La raison concrète est bien évidente. La cause d'un naufrage est une voie d'eau dans la coque de navire dans presque tous les cas. Mais est-ce que c'est la seule raison? Non, bien sûr! Les raisons sont plus nombreuses et sérieuses. La vérité est que la plupart des navires sont amortis depuis long temps, leurs armateurs et affréteurs pensent seulement à leur profit donc ils sont sans scrupules et ils exploitent un équipage mal payé et mal qualifié. Ils contournent les contrôles de sécurité. Ces rafiots sont des bombes à retardement.
Nous citrons l’exemple du naufrage de l’Erika pour mieux comprendre les couses. D’après le rapport du collège d’experts judiciaires désigné par le tribunal de commerce de Dunkerque, rendu le 28 novembre 2005, la réalité de la structure du navire ne correspondait pas à la certification qui en a été faite après la remise à neuf du navire. Les expertises judiciaires constatent que le navire a été confronté à une tempête force 8/9 en décembre 1999, mais cette tempête est un facteur contributif du naufrage et il ne suffit pas en soi à l’expliquer. Il faut remarquer aussi que le naufrage du Prestige est presque identique – c’est un pétrolier à simple coque, âgé de 26 ans.

Passons à présent à la question de résultats d’une marée noire. Les marées noires sont une véritable catastrophe pour les régions touchées. Ces pollutions ont un impact global, écologique et économique.
Tout d’abord au plan écologique les marées noires causent des graves perturbations de l'écosystème. Les effets négatifs sont nombreux pour l’environnement. On peut les résumer comme une destruction des fonds marins et de l'habitat de nombreux animaux. L’exemple le plus représentatif de cet effet est sans doute le cas du naufrage du Prestige et les mots d’ Eco Master, un des spécialistes de Greenpeace: « Ce n’est pas seulement le pétrole qui se déverse sur les côtes qui est dangereux mais aussi celui qui se répand sur les fonds marins et qui va détruire les coraux, les poisons et les autres espèces marines. » Nous connaissons bien aussi un reportage pour les premières victimes du naufrage du Prestige – ce sont des oiseaux englués dans les nappes de pétrole de 400 km.
Ensuite les conséquences sur le plan économique ne sont pas moins sérieuses. Contamination des produits de la pêche prive des plusieurs milliers de pêcheurs et mareyeurs de leur travail. A Caion, un village espagnol, touché par la marée noire du Prestige, le vice-président du gouvernement, Mariano Pajoy, a annoncé une série d’aides fiscales et le déblocage de lignes de crédit pour les professionnels touchés. Des aides directes, de 30 euros par jour et par pêcheur, sont déjà versées par les autorités régionales.
Il faut souligner aussi que le nettoyage des rivages est très coûteux. Par exemple le coût pour les travaux de dépollution atteigne un milliard d’euros.
Enfin il ne faut pas oublier le tourisme qui éprouve de lourdes pertes.

Ainsi nous viendrons plus loin sur la question des solutions et les mesure qu’on peut prendre. L’Europe, et en particulier l’EU, a beaucoup avancé depuis quelques années. L’UE a fait un durcissement de la législation sur les transports pétroliers. Les mesures qu’on avait prises au début de ce siècle ont été appelées Erika 1 et Erika 2. Le paquet Erika 3 a été mis en discussion en 2006 et sera sans doute pris en compte au deuxième semestre 2008. De plus nous ajoutons aussi la Directive 2004/35/CE du Parlement européen et du Conseil, du 21 avril 2004, sur la responsabilité environnementale en ce qui concerne la prévention et la réparation des dommages environnementaux. Tous ces documents sont concentrés sur les mesures et solutions pour résoudre le problème lié avec les marées noires. On peut citer quelques-unes de plus importantes. Ce sont: le renforcement du contrôle des navires dans les ports, un contrôle plus serré des sociétés de classification qui délivrent aux navires le permis de naviguer, le retrait progressif des navires à simple coque, la création d’un « fonds européen de compensation (fonds COPE), la mise en place d’un système du suivi du trafic maritime et la création d’une Agence européenne pour la sécurité maritime.
Ce sont des solutions qui aideront la lutte contre les marées noires, mais c’est seulement le premier pas, c’est – à – dire qu’elles ne sont pas suffisantes. Le problème des marées noires est très sérieux et il exige l’attention à tout le monde.

A la fin, tout en reconnaissant les couses, conséquences et solutions des marée noir, il serait nécessaire de réfléchir à l’interrogation - Comment on peut aider la lutte contre les marées noires? J’espère que je l’avais fait déjà avec cette dissertation, que j’ai été aidé la lutte contre les marées noires avec ma popularisation du problème.

сряда, 21 януари 2009 г.

les sources d’énergie renouvelables

Dossier thématique présenté par:

Angelov Mitko et Kralev Georgi

Il y a quelques semaines une crise du gaz a commencé. La Russie accuse l’Ukraine parce qu’elle n’avait pas payé ses dettes et aussi qu’elle avait triché avec les approvisionnements du gaz pour l’Europe. La Russie a coupé le gaz. C’est un nouvel exemple de l’impérialisme russe et le chantage par l’Ukraine pour tirer profit de sa position stratégique. Et l’Europe, en particulier et la Bulgarie, va payer toutes les conséquences négatives.De ce problème nous ajoutons le problème de changement climatique et aussi le problème des déchets et des émissions de gaz en effet de serre et la pollution. Une solution de tous ces problèmes sont les sources d’énergie renouvelables.

Nous avons trouvé plusieurs documents pour expliquer ce que les sources d’énergie renouvelables représentent et comment on peut les utiliser dans le contexte de l’EU.

Je vais commencer avec les cinq familles des énergies renouvelables: l’hydroélectricité, la géothermie, l’électricité solaire photovoltaïque, l’éolien et la biomasse. Ce sont des énergies inépuisables. Fournies par les chutes d’eau et les marées, la chaleur de Terre, le soleil, le vent et la croissance des végétaux, leur exploitation ne produit pas ou elle produit peu de déchets et des émissions polluantes. Ce sont les énergies de l’avenir. Aujourd’hui elles sont sous-exploitées par rapport à leur potentiel.

Tel est le cas de l’hydroélectricité. De nos jours l’énergie hydro-électrique est utilisée au niveau des barrages. Il faut souligner que la France a, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, exploité l’énergie qu’elle pouvait tirer de l’eau et développé un ensemble de barrages hydroélectriques. Mais son potentiel reste encore inexploité. En juillet 2008, le Ministre de l’Ecologie et de l’Energie a présenté un plan de relance de la production hydroélectrique en France.

Passons à présent à la question de la géothermie. Cette énergie utilise la chaleur du sous-sol. Dans le sous-sol, la température augmente en moyenne de 3 degrés tous les 100 mètres et encore plus dans les zones à volcanisme actif.

La France se situe à la troisième place européenne en termes de capacité géothermique installée. Trois principales filières son concernées: celle des pompes à chaleur les usages domestique, celle des réseaux de chaleur destiné au chauffage collectif et celle de la production électrique principalement dans les DOM (départements d’outre mer).

Ainsi nous laisserons la question du géothermique pour parler de l’électricité solaire photovoltaïque.

Le flux d’énergie solaire reçu annuellement sur la surface de la Terre représente environ 10 000 fois la consommation d’énergie mondiale, et en fait l’une des sources renouvelables les plus abondantes.

L’utilisation principale du solaire est la connexion au réseau électrique. L’énergie solaire peut être convertie directement en électricité par des capteurs: c’est l’énergie photovoltaïque. Les panneaux solaires photovoltaïques sont beaucoup utilisés pour l’alimentation électrique des sites isolés et hors réseau. Les panneaux solaires produisent de l’électricité grâce à l’onduleur qui la transforme. Ainsi l’énergie est utilisée pour la fourniture d’électricité au réseau (par un tarif de rachat décidé par le gouvernement) ou pour l’alimentation à l’usage domestique.

Ainsi nous viendrons plus loin sur la question de l’éolien. Aujourd’hui l’énergie éolienne se développe à un rythme soutenu dans presque tous les pays du monde, avec une croissance de 30% par an. Six raisons principales expliquent ce succès rapide: l’énergie éolienne est abondante, bon marché, inépuisable, disponible presque partout, propre et sans impacts sur le climat. Aucune autre source ne possède toutes ces qualités. Les aérogénérateurs, mis en mouvement par le vent, fabriquent des dizaines de millions de mégawatheures. Utile dans les sites isolés, cette électricité alimente aussi les grands réseaux de distribution d’électricité. En moyenne, depuis 1997, la capacité de production éolienne installée en Europe croît de 30% par an. Cette hausse est comparable à celle qu’a connue le nucléaire dans les années 1970.

Plusieurs pays ont annonce des plan de développent massif: le Danemark, l’Allemagne, l’Espagne, le Royaume-Uni.

Il faut remarquer aussi l’énergie qui vient de la biomasse. Aujourd’hui la lutte contre le changement climatique a permis de redécouvrir les nombreux avantages de cette énergie. Les technologies actuelles de combustion permettent désormais d’atteindre de très hautes performances énergétiques.

La biomasse pour les biocarburants: les huiles de colza, tournesol, soja ou palme sont les matières premières de base pour fabriquer du biodiesel. L’utilisation des huiles végétales pure comme carburant est possible mais rencontre des limites techniques. Le bioéthanol est aujourd’hui produit à partir de la fermentation de blé, maïs ou canne à sucre. A l’horizon 2015-2020, des biocarburants dits "de seconde génération" pourront être produits à partir des matières cellulosiques comme la paille et le bois.

La biomasse comme biocombustible pour produire de la chaleur et de l’électricité:

Le bois peut être présenté parfois sous la forme de granulés ou briquettes. Ces combustibles sont brûlés dans des appareils de chauffages domestiques.

Le biogaz issu de la fermentation de déchet divers mis en décharge s’utilise pour produire de l’électricité dans les cogénérations spéciales.

Tout en reconnaissant les sources d’énergie renouvelables nous verrons leur usage dans l’UE. Le document que nous permet de faire ça – c’est une feuille de route de l’UE pour les sources d’énergie renouvelables qui porte une ambition de construire un avenir plus durable.

La présente feuille de route fait partie du réexamen du domaine de l’énergie. Elle expose une vision à long terme pour les sources d’énergie renouvelables dans l’UE. Elle propose que l’EU établisse un objectif obligatoire (juridiquement contraignant) de 20% pour la part des sources d’énergies renouvelables dans la consommation d’énergie de l’EU pour 2020.

Vous savez très bien que des investissements très importants ont été réalisés dans le passé pour développer les sources d’énergie classique, en particulier le charbon et l’énergie nucléaire. Le moment est venu, à présent, de faire de même pour les sources d’énergie renouvelables.

Au niveau européen, les pays membres partagent l’opinion que les énergies renouvelables sont le seul secteur de l’énergie qui ressort en termes de capacité de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de pollution et de stimuler aussi les industries de haute technologie. Un autre fait d’après la Commission européenne c’est que les sources sont très souvent indigènes et cela aidera l’économie européenne et garantira l’indépendance de l’UE.

Les Etats membres traitent les positives de l’énergie renouvelable au point de vue de la production d’électricité, les transports, le secteur du chauffage et du refroidissement. A l’aide des méthodes nouvelles la consommation annuelle de combustibles fossiles diminuera jusqu’ à 250 millions de tep. Cela coûtera entre 10 et 18 milliards d’euros de moins pour les européens. Le premier but devant l’Union est d’avoir 12 % d’énergie renouvelable dans la consommation jusque 2010, mais ils seront atteints seulement 10 %.

Il existe beaucoup de problèmes devant l’installation et l’exploitation des systèmes, des procédures d’autorisation imprécises. Les petites centrales restent souvent découpées du réseau central du pays.

Un autre fait est que le développement des énergies renouvelables reste inégal dans l’ensemble de l’UE, pays comme la France, la Suède et autres produisent beaucoup plus d’énergie à l’aide des méthodes nouvelles que la Bulgarie et la Roumanie. En analysant le cadre européen on pourra dire qu’il y a une croissance pour l’électricité, un début de croissance pour les biocarburants du transport et un ralenti pour le chauffage et le refroidissement. L’UE atteindra un chiffre de 19 % d’électricité produite de sources d’énergie renouvelables d’ici 2010. On voit une croissance de l’électricité produite d’énergie éolienne et de la biomasse. L’utilisation de biocarburants pour transport marque aussi une hausse au niveau des pays membres, mais reste encore loin de l’usage des combustibles classiques.

Le potentiel de l’utilisation de la biomasse, l’énergie solaire et géothermique pour chauffage est très grande et reste maintenant sous-exploité, de point de vue des 50 % d’énergie produite utilisée par les européens pour chauffage et refroidissement. Les pays occidentaux sont les plus grands utilisateurs de la chaleur géothermique. En Europe n’existe pas une politique commune sur les questions de l’énergie renouvelable et cela pose beaucoup d’inégalités au continent. On pourra dire avec certitude que l’électricité produit par des sources d’énergie renouvelable est le meilleur aspect développé de ce domaine.

L’adoption d’une politique sur les énergies renouvelables est un élément clé de la politique globale de l’UE. La Commission estime qu’un objectif global et juridiquement contraignant pour l’UE établissant à 20 % la part des sources d’énergie renouvelables dans la consommation intérieure brute d’ici 2020 est possible et souhaitable.

Comment procéder?

La Commission prévoit une augmentation de la production d’électricité à partir de sources d’énergie renouvelables et l’énergie éolienne. Elle pourra être réalisée dans les pays qui se trouvent au bord des mers comme le Danemark, l’Espagne etc. quant aux autres technologies nouvelles comme l’énergie photovoltaïque et thermique, leur croissance s’accélérera à mesure que leur coût baissera.

La Suède possède la moitié du nombre total d’installation des pompes à chaleur géothermique. Cela montre encore une fois le manque d’une politique et position commune sur ce projet. Les biocarburants représentent un grand potentiel d’augmentation en Europe (une forte position en Allemagne). Ils pourraient être produits par des déchets de la biomasse, de l’huile de colza etc.

Question du coût

Contrairement à celui des sources d’énergie classiques, les coûts des sources d’énergie renouvelables connaissent une baisse constante et notable, mais quand même reste dans l’ensemble supérieur. Les pronostiques des experts européens prévoient une réduction du coût moyen des énergies renouvelables d’environ 2 milliards d’euros par an au dépense du coût du pétrole. Ils disent aussi que le prix d’installation d’ici 2030 sera 2 trillions de dollars pour les consommateurs européens.

En conclusion on pourrait dire que la Commission européenne à l’aide de cette feuille de route a pour but de présenter une stratégie sur les sources d’énergie renouvelables qui devraient être 20 % de l’énergie en Europe en 2020. Cela sera réalisable à l’aide de 10 à 18 milliards d’euros par an, mais cela réduira les émissions de CO2 qui est un but pour l’UE. L’Europe renforcera sa position sur le plan de la sécurité d’approvisionnement en réduisant la demande de combustibles fossiles de 250 millions de tep en 2020. L’objectif des politiques européens lié à la conservation de l’environnement et le changement climatique représente une partie essentielle de la politique européenne concernant les sources d’énergie renouvelables.